Vaccins: une Malakoffiotte demande à avoir le choix

Chère Madame,

Je ne vous demanderai pas de ne pas voter cette loi indigne, il n'est que trop probable que vous le ferez avec malheureusement tous les députés de votre parti.

Je voudrais simplement vous suggérer de proposer au cours du débat une autre voie pour rallier à la vaccination une grande partie de ceux qui comme moi s'y refusent toujours.

Les non-vaccinés ne sont pas en effet des excités "antivax" "stupides""fascistes" etc. Ce sont des citoyens qui réfléchissent et ne sont pas prêts à se laisser injecter un "vaccin" qui n'en est pas un, qui repose sur une technique très différente et très insuffisamment testée puisque l'autorisation définitive de sa mise sur le marché n'interviendra qu'en 2023. Un "vaccin" dont on ne sait rien, même pas les conditions dans lesquelles il a été acheté par l'Union européenne. Un "vaccin", enfin, mis au point par l'entreprise criminelle qu'est Pfizer, responsable de la mort d'enfants africains utilisés comme cobayes pour un autre de ses vaccins, et qui verse actuellement des milliards de dollars d'amendes pour ses mensonges concernant la toxicité de plusieurs de ses produits.

Pourquoi ne pas proposer, plutôt que de brutaliser ainsi gravement toute une partie de la population, d'élargir l'éventail des vaccins actuellement offert à la population ? Plusieurs pays le font, la Grèce par exemple accepte les vaccins chinois et le Sputnik. J'aurais personnellement, ainsi que ma famille, la possibilité d'accéder au vaccin cubain, qui est utilisé avec succès. Et puis on parle de nouveaux vaccins, Novavax notamment, qui serait certainement mieux accepté. Alors pourquoi cette précipitation, alors qu'il apparait à l'évidence que les vaccins exclusivement proposés à l'heure actuelle en France sont inefficaces face à un virus qui a beaucoup changé, et n'empêchent ni d'être contaminés ni de contaminer les autres ?

Vous vous honoreriez certainement en intervenant en ce sens, plutôt que d'accepter sans état d'âme ce crime contre la liberté et la démocratie.

Bien à vous

Joëlle Fontaine