"Si tu veux la paix prépare la guerre".
Cet adage latin vaut éventuellement avant une guerre. Quand elle est déclenchée, ça ne vaut pas.
Ceci est d'autant plus vrai sur une planète désormais mondialisée où tout conflit d'ampleur a des répercussions délétères plus ou moins imprévisibles dans le monde entier.
Les votes, notamment africains, à l'ONU relatifs à l'invasion de l'Ukraine en ont apporté une démonstration.
Ce qui précède n'est pas contradictoire avec la solidarité active que nous devons aux peuples agressés, européens ou non.
Ce qui manque le plus aujourd'hui, des initiatives internationales pour enclencher le processus de paix.
Fidèles à Jaurès.